Paradoxe Paradis

Si l’on admet le Paradis « éternel » c’est à dire sans début ni fin, on est en droit de considérer que le temps n’y existe pas. Puisque le temps n’y existe pas, c’est donc, à l’intérieur du paradis que les gens qui y séjournent depuis 20 siècles ont à leurs côtés et instantanément les personnes qui meurent à notre époque mais aussi celles qui mourront dans 20 siècles. Dans ce raisonnement, le Paradis devient un grand livre où la date de la mort de chacun d’entre nous est déjà inscrite (puisque pour les résidents on est déjà avec eux (car il ne faut pas confondre « voyager dans le temps » et être  » hors du temps ». Ou alors, de cette réflexion, il est possible d’imaginer un temps linéaire du paradis, différent du notre, qui reste identique à celui ne nos particules élémentaires (les cordes) où seul subsiste « l’esprit » sous forme de faisceaux harmonique de cordes.

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